samedi 27 mars 2010
Le pape Benoit XVI, depuis son élection, subit chaque année les charges féroces des ennemis de l’Eglise.Les grands médias occidentaux ont trouvé dans cette pratique un moyen parfait pour allier rentabilité (le scandale vend bien) et la propagande de leurs idées néfastes. Bien entendu, ce mariage de raison trompe la mission première des métiers de l’information qui est d’informer le public en étant le plus proche possible de la vérité.

Salir l’Eglise n’est bien entendu pas un sport nouveau. Depuis de nombreux siècles, le christianisme doit faire face à des opposants acharnés qui ne supportent pas le message du Christ, souvent à l’encontre des traditions du moment, que transmet la plus ancienne institution humaine.
Le sida, la pédophilie, le négationnisme, sont les dernières campagnes publicitaires menées contre l’Eglise Catholique Romaine ces dernières années. Ces déchainements de mensonges finissent tous de la même façon, à savoir dans l’indifférence du grand public, lassé par des accusateurs véreux, qui soutiennent tout et leur contraire quand il s’agit de salir, de détruire, de trainer dans la boue les opposants à l’ordre nouveau basé sur le plaisir personnel, l'écologie, l’antiracisme etc.


Les mêmes qui défendent un pédophile connu et reconnu quand il est cinéaste, ministre, de préférence franc-maçon et socialiste condamnent un innocent s'il est suspecté d’avoir peut-être blanchi, il y a quinze ans un éventuel pédophile.

Les juges sans tribunaux devraient avant toute accusation publique respecter un des piliers de la justice dans les pays dits développés, à savoir la présomption d’innocence.

Les communistes avaient des tribunaux révolutionnaires, les fascistes avaient des tribunaux militaires, les chinois ont des tribunaux populaires, mais les démocraties occidentales, dirigées par leurs médias fanatiques, n’ont pour unique tribunal que l’arbitraire d’une poignée de journalistes corrompus, qui jugent sans essayer de connaître la vérité, qui condamnent sans preuves, et qui envoient à l’échafaud des innocents en déblatérant des antithèses se référant aux droits de l’Homme.

Ces mensonges à répétition, proférés par les nouveaux maitres de l’Olympe, devront un jour être jugés pour avoir bafoués injustement l’honneur d’institutions, d’hommes et de femmes, pour avoir trainés dans la boue et offert en sacrifice à la populace avide de mises à mort des innocents et pour avoir caché la vérité afin de réécrire l’Histoire sur un tissu de mensonge.

Ces juges de droit divin se détruiront eux-mêmes, quand leur orgueil ne supportera plus la vue de leur propre petit corps minable, de leur face de rat de bibliothèque, de leurs binocles crasseux et voudront se réincarner dans des héros antiques, des chefs de légions, des empereurs romains. Leur principal ennemi est l’égo, notre principale force le temps. Les hommes meurent, les régimes changent, des civilisations disparaissent et l’Eglise reste.

Aujourd'hui l’homme à abattre, l’ennemi numéro un, le criminel de guerre s’appelle Benoit XVI, mais n’importe quelle personne de bonne volonté, catholique, orthodoxe, protestante, juive, bouddhiste, etc. pourrait être assise sur le banc des accusés où l’aura menée son honnêteté.

François Franck

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